Première partie:La rencontre
Par une matinée brumeuse, un homme encapuchonné s’écroule devant les portes de la capitale.Des écorchures et des brûlures recouvre son corps emmitouflé sous une épaisse fourrure.
Dans une petite chambre de misère le voyageur se réveilla, épuisé de par son périple .Ses blessure était soignées et un feu se consumait lentement dans la cheminée .Il chercha en vain la personne qui lui avait offert le logis et qui l’avait soigné.Quand il se releva, la porte s’ouvrit.Une femme à la beauté éblouissante apparut dans l’entrebâillement.
-Qui êtes-vous ? s’écria l’homme à la jeune femme qui, malgré avoir été surprise par la réaction de l’homme qu’elle a soigné, continuait d’avancer sans montrer le moindre signe de malaise.
-Je me nomme Riza, expliqua la jeune femme tout en remettant du bois dans la cheminée ; vous étiez évanouie devant les portes de la citée, alors je vous ait transporter chez moi.
La jeune demoiselle s’attendait à un minimum de remerciement de la part de l’inconnu mais il ne fut rien ; il se tenait assis sur le lit, perdu dans ses pensées.
Bien que légèrement vexer par l’attitude de l’inconnu, Riza voulait en savoir d’avantage sur cet homme et sur ce qui lui était arrivé.
-Dites moi, comment vous êtes vous fait toutes ces blessures ?
Sans surprise, l’homme resta assis sur le lit sans jeter un regard à la jeune femme.
-Pourquoi étiez vous inconscient devant la ville ?
-……………………
Que venez vous faire à la capitale ?
-……………………
Le silence de l’inconnu en disait long sur son intention de discuter.
-Je vois, vous ne voulez pas parler.Très bien.Mais vous devez avoir faim, voulez vous un peu de soupe ?
A sa grande surprise, l’inconnu acquiesça d’un hochement de tête.
La pièce n’étant éclairé que par la lumière faible du feu dans la cheminée, Riza alla tirer les rideaux de la seule fenêtre de la pièce mais elle fut retenue par la main de l’inconnu qui lui barrait le passage.
-N’ouvrez pas les rideaux !s’exclama l’inconnu.
-Mais nous ne voyons quasiment rien.
-S’il vous plait, n’ouvrez pas les rideaux.
Ne comprenant pas la réaction de l’homme,Riza se tourna vers lui et vis dans ses yeux une tristesse qui ne peut s’exprimer avec des mots,un malheur tellement grand qu’il parait avoir été porté pendant des années.
Riza éprouva alors de la sympathie pour cet homme qui avait l’air d’avoir tellement souffert.
-Euh,……voulez-vous rester ici pour la nuit, murmura la jeune femme, les rue ne sont pas très sûre la nuit.
Surpris par cette proposition, l’inconnu accepta néanmoins cette demande plus par besoin que par plaisir.
-Au fait, je ne connais toujours pas vôtre nom, lança-t-elle avec espoir.
-Je me nomme Crimson
A la nuit tombé, blottit dans son lit, Riza fut réveillé par des bruits sourds venant de la rue.
Elle s’avança à la fenêtre pour voir ce qu’il se passait.Elle vit deux silhouette au loin, deux silhouette se battant.Elle enfila une tunique et sortit pour aller voir se qu’il se tramait.En chemin, elle se dit qu’il ne s’agissait sans doute que de deux ivrognes qui se battait pour savoir qui devait payer la prochaine tounée.
Mais en arrivant sur les lieux, sa surprise fut de taille quand elle vu que les deux silhouette n’était pas deux ivrognes mais un homme, massif, avec de grand cheveux long et blanc et surtout des yeux injectés de sang .Quand au deuxième homme, Riza ne l’avait pas reconnut dans le noir mais il s’agissait de Crimson.Mais pas le Crimson qu’elle avait quitté le soir pour aller s’endormir, cet homme était plus sombre, plus emplis de haine.
Riza se demandait qui était cet homme contre qui Crimson se battait, et surtout, pourquoi ils se battaient ?
En se rapprochant, la jeune femme vit plus précisément le visage des deux hommes.En les observant,Riza fut horrifié en voyant qu’à la place de leurs premières canine se dressaient une paire de dent ,plus grandes que les incisives et tranchantes comme des lames.
Sous le choc, la jeune femme s’évanouie en renversant une poubelle.
Alerté par le bruit, les deux adversaire se retournèrent.Crimson se précipita vers Riza tandis que son ennemis s’envola tel un oiseau vers la lueur faible de la lune.
Mar 18 Déc - 22:29